Le Capitalisme financier a édifié un système, des structures, des mécanismes, des portes tournantes, des virtualités, des prestidigitations linguistiques et des valeurs entraînant une concentration croissante des richesses et du pouvoir concomitant, bref, une oligarchie. Son élan, sa flèche est cause et effet d'une avidité inexorable. Ses vautours les plus hardis et surpuissants planent sur nos existences machinalement, nouvelles technologies à l'appui, sans états d'âme. Leurs succès et leurs échecs —et maths— sont notre ruine et celle de la planète.
Beaucoup de gens dans le monde lisent, regardent, écoutent tous les jours la prédication de ce Capitalisme à travers ses grands média. Il y a néanmoins des pages (saumon), des rubriques, des sections qu'on évite soigneusement. C'est là qu'on peut lire ou écouter des références directes ou indirectes à ces géants à la taille tellement démesurée qu'ils déterminent autrement nos vies, nos emplois, nos salaires, nos pensions... C'est le cas de BlackRock avec ses multiples participations multinationales (1). Voilà pourquoi il y en a qui ont commencé à passer au crible cette entreprise.
Selon le droit financier, un délit d'initié est une infraction commise par une personne qui, disposant d'informations privilégiées, les utilise pour des opérations en Bourse (Le Robert).
Un article du quotidien Público du 2011 illustrait le délit d'initié à travers trois cas "possibles". Sur le premier, on pouvait lire :
L'édition 2019 du rapport CAC40 : Le véritable bilan annuel, de l'Observatoire des Multinationales, rappelait :
Le film fut émis par ARTE mardi 16 septembre à 20h50, puis à la carte en ligne. Voici, inséré, ce produit critique et touffu de la société du Spectacle et du Grand Pognon :
Le 20 décembre, nez fin, sourire aux lèvres, Tatiana Ventôse (Le Fil d'Actu) s'est soigneusement penchée sur ce sujet afin de nous ouvrir les yeux concernant les intérêts cachés et, donc, les vrais gagnants de cet énième projet de réforme au service de la finance, ergo tellement cher au président aux lapsus éloquents —car éclaircissant à quels râteliers il mange :
Le 21 décembre, l'historienne Mathilde Larrère nous a proposé sur Twitter une histoire du Droit à la retraite. Pour y accéder, cliquez ci-contre.
Quant à ces féroces cipayes des institutions et des média, je le dis, c'est pas pour cafter, mais y font rien qu'à mugir dans nos paysages audiovisuels, nos papiers et nos institutions, dérouter la langue et conchier (s'oublier sur) l'Histoire, le Conseil national de la Résistance (3) et 90% des Français.
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(1) qui ne cessent de croître : Santander, Caixabank, Air Liquide, Vale, UMICORE,... [immédiatement après la rédaction de ce billet AENA et BME]. Ainsi, quand le 17 décembre 2019, nous liions dans plusieurs moyens de communication que...
(2) Mise à jour du 2 janvier 2020 :
J'apprends par Là-bas que M. Cirelli a été élevé au rang d’officier de la Légion d’honneur le 1er janvier 2020 par décret du 31 décembre 2019 du Président de la République. Vous pouvez consulter la parution au Journal Officiel. Pas mal, comme foutage de gueule.
(3) Voici un exemple de sarcasme pur beurre pour voir à quel point ils se torchent du monde. C'est un extrait du discours d'Édouard Philippe, mercredi 11 décembre 2019, devant le Conseil économique et social, à Paris :
Le mot d'Ambroise Croizat, syndicaliste CGT et ministre communiste qui mit en place la Sécurité sociale en 1945, reste toujours pertinent : « Rien n’est jamais acquis définitivement car le patronat ne désarme jamais. » La Sécu s'est bâtie sur un principe ne nécessitant pas de chiffres : «Vivre sans l’angoisse du lendemain, de la maladie ou de l’accident de travail, en cotisant selon ses moyens et en recevant selon ses besoins.»
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Mise à jour du 10 janvier 2020 :
Anaïs Henneguelle, maîtresse de conférences en économie à l’Université de Rennes 2, membre du collectif d’animation des Economistes atterrés, vient de mettre en ligne, le 3 janvier 2020, un guide d'auto-défense contre 12 mensonges reçus en matière de retraites à combattre absolument. Ce texte, clair et détaillé,...
Beaucoup de gens dans le monde lisent, regardent, écoutent tous les jours la prédication de ce Capitalisme à travers ses grands média. Il y a néanmoins des pages (saumon), des rubriques, des sections qu'on évite soigneusement. C'est là qu'on peut lire ou écouter des références directes ou indirectes à ces géants à la taille tellement démesurée qu'ils déterminent autrement nos vies, nos emplois, nos salaires, nos pensions... C'est le cas de BlackRock avec ses multiples participations multinationales (1). Voilà pourquoi il y en a qui ont commencé à passer au crible cette entreprise.
Selon le droit financier, un délit d'initié est une infraction commise par une personne qui, disposant d'informations privilégiées, les utilise pour des opérations en Bourse (Le Robert).
Un article du quotidien Público du 2011 illustrait le délit d'initié à travers trois cas "possibles". Sur le premier, on pouvait lire :
En un momento tan crítico como el 28 de abril de 2010 -dos semanas después, la UE emprendería el pacto de ajuste para rescatar Grecia e intentar calmar a los mercados-, Standard &Poor's rebajó la calificación de España y divulgó la noticia tres minutos antes del cierre de la Bolsa, lo que aceleró la caída de la jornada, según describe la querella.En novembre 2016, dans un article du Monde diplo, Jean-Michel Quatrepoint mettait les points sur les i sur le partenariat éducation publique élitiste-business bien privé et sur un pantouflage particulièrement significatif :
El escrito recuerda que ese día España lideró la caída bursátil de toda la UE (se dejó el 2,99%), acelerada en los últimos minutos, y pide que se investigue por qué S&P decidió difundir su informe en ese preciso momento. Entre los accionistas de la agencia están fondos estadounidenses como Vanguard, Capital Group y BlackRock, algunos de ellos especialistas en apuestas a la baja, que generan ganancias cuando cae la Bolsa. 'Debe aclararse si los beneficiados de dicha situación eran o no clientes de S&P', reza la querella.
Les branches françaises des cinq grandes banques d’investissement [étasuniennes] sont toutes dirigées par un énarque. M. Jean-François Cirelli (2), ex-dirigeant de Gaz de France et d’Engie, ancien membre du cabinet du président Jacques Chirac, vient de rejoindre la filiale pour la France et le Benelux de BlackRock. Peu connu du grand public, ce fonds est le premier gestionnaire d’actifs du monde.Jean-François Cirelli n'est pas le seul à avoir chaussé ses pantoufles (dans les deux sens) et endossé un bon poste chez BlackRock. Je me rappelle qu'en 2012, Philipp Hildebrand, ancien patron de la Banque Nationale Suisse, disait vouloir utiliser « ce qu’il a[vait] appris, à l’interface entre finances et économie politique, au profit du secteur privé » —pour un salaire qui se montait à 7 millions de francs suisses. George Osborne en sait aussi quelque chose, en raison de £13,000 par jour, un gig plutôt portant. Quand il était ministre des Finances du Royaume-Uni, chancelier de l'Échiquier, il avait bossé dur pour que l'âge de la retraite soit relevé à 68 ans au milieu des années 2030, bonne accélération par rapport à l'objectif initial de 2046, puis à 69 ans vers la fin des années 2040.
L'édition 2019 du rapport CAC40 : Le véritable bilan annuel, de l'Observatoire des Multinationales, rappelait :
Bernard Arnault et sa famille, BlackRock et l’État français : voilà les principaux bénéficiaires de l’inflation des dividendes versés par le CAC40.Sous le titre BlackRock, la finance au chevet des retraités français, Sylvain Leder, professeur de sciences économiques et sociales, publie un article dans le numéro de janvier du Monde diplomatique, pages 16 et 17, dont le chapeau explique :
Frustrés par la faible part de l’épargne individuelle dans le système de retraite français, les géants de la finance espèrent que, avec la réforme Macron-Philippe, leur heure arrive enfin.Depuis le début, son texte reprend ou transmet —mis à part d'autres intéressants compléments d'information— l'essentiel de Ces financiers qui dirigent le monde - BlackRock (BlackRock - Die unheimliche Macht eines Finanzkonzerns, 91 min., Allemagne, 2019), un documentaire enquête que j'ai vu il y a trois semaines —tout en survivant à ses effets spéciaux, visuels et sonores, vraiment consternants, voire éprouvants : son réalisateur, Tom Ockers, a fait sien le sensationnalisme formel de la civilisation de l'objet de son étude.
Le film fut émis par ARTE mardi 16 septembre à 20h50, puis à la carte en ligne. Voici, inséré, ce produit critique et touffu de la société du Spectacle et du Grand Pognon :
Ce documentaire a été également bien digéré par Jérémie Younes qui en a livré un résumé glose en rapport avec l'actualité macro(écono)nique, déjà cité ici (Retraites : les compagnies d’assurance en embuscade), comme employé de la semaine du site Là-bas le 16 décembre. Il y rappelle qu'on sait très bien que BlackRock et ses amis (et leurs lois PACTolE) font font font et tiennent à faire dans les retraites...
Sur Vimeo.
Très discret, BlackRock est pourtant le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète. Enquête sur l’omniprésence préoccupante et indécente des grands argentiers de BlackRock dans la vie politique et économique mondiale.
Si l’argent ne fait pas le bonheur, il ouvre sans nul doute les portes du pouvoir. Une maxime que le groupe de gestion d'actifs BlackRock, avec ses 6 000 milliards de dollars américains passés, soit plus de deux fois le PIB de la France, connaît bien. Sociétés, gouvernements et banques centrales : l'entreprise tentaculaire ne cesse d'étendre son influence dans toutes les directions, depuis sa création, en 1988, par Larry Fink. La force de ce géant américain de la gestion réside dans les milliards de dollars que lui confient ses clients, pour la plupart des gros poissons de la finance : multinationales, institutions financières et fonds d’investissement ou de pension. Grâce à cette manne financière, le groupe a mis le grappin sur de nombreuses multinationales. Actuellement, BlackRock est entre autres présent dans le capital d’Apple, de Microsoft, de Facebook, de McDonald’s, de Siemens, ainsi que de nombreuses entreprises du CAC 40. Non content d’investir dans les entreprises les mieux cotées du monde, le gestionnaire d'actifs est aussi dans les petits papiers de gouverneurs de banques centrales, de ministres des finances et même de chefs d’État, à qui il prodigue de précieux conseils. Et pour cause : il dispose non seulement des meilleurs experts financiers, mais aussi d’un algorithme de prévision conjoncturel sans égal, Aladdin. Lors de la crise financière de 2008, de nombreux gouvernements proches du naufrage avaient fait appel au groupe de Larry Fink, ce qui lui a permis de renforcer son emprise sur l’économie mondiale et de présenter à tous le visage d'une entreprise providentielle…
Empire tentaculaire
Dans la société civile, d’aucuns s’inquiètent de la position ultradominante du groupe, désormais capable d’influer sur l’économie mondiale et de souffler à l’oreille des décideurs. Son outil phare, Aladdin, représente également une source d’inquiétude : il pousse à une uniformisation de l’investissement mondial, ce qui pourrait amplifier l’effet domino à la prochaine crise financière. Cette enquête choc de Tom Ockers dénonce l’omniprésence préoccupante et indécente des grands argentiers de BlackRock dans la vie politique et économique mondiale. Menée dans cinq pays différents, elle brosse le portrait fouillé d’un des groupes financiers les plus influents au monde, parfaitement inconnu du grand public.
...et cite plusieurs sources clarificatrices en la matière, dont Martine Orange (Mediapart, le 9 décembre 2019)...
Mise en ligne le 15 décembre 2019
(...) D’ailleurs, le gouvernement a déjà commencé à inciter les riches à se tourner vers la capitalisation : souvenez-vous de la fameuse Loi Pacte, dans laquelle étaient contenues les privatisations de FDJ, d’ADP, et un tas d’autres énormités. Dans cette loi Pacte, un article stipule que les cotisations à des plans d’épargne retraites privés sont désormais... déductibles à 100% des revenus du contribuable [4] ! Déductibles, comme les dons pour Notre-Dame. Nous subventionnons avec nos impôts la sécession des riches de notre système par répartition. Et l’assurance AG2R la Mondiale jubile sur son site internet : « La loi Pacte vise à rendre ces produits plus attractifs ».
Mais le scandale ne s’arrête pas là : ces dispositions de la loi Pacte et de la réforme par points pourraient avoir été directement soufflées au gouvernement par l’un des plus grands fonds de pension du monde, le géant américain de la finance et de l’assurance BlackRock [5]. En effet, on a appris il y a quelques jours que le PDG de BlackRock, Larry Fink, a été reçu en catimini plusieurs fois à l’Élysée ces derniers mois [6]. On découvre même qu’en juin 2019, quelques jours avant la remise du rapport Delevoye, BlackRock a remis un document de 15 pages avec ses « recommandations » au gouvernement pour la réforme des retraites. Un lobbyisme acharné que BlackRock avait déjà mis en œuvre pour la loi Pacte : on trouve sur leur site un charmant petit dossier intitulé « Loi Pacte, le bon plan retraite » !
Entre ces incitations fiscales, le plafond de cotisations pour les hauts revenus et le lobbyisme intense des fonds de pension, ce n’est plus une question mais une constatation : c’est bien la fin de la répartition que prépare Emmanuel Macron.
Premier gestionnaire d’actifs au monde, BlackRock a des vues sur l’épargne française, « une des plus élevées d’Europe ». À la faveur de la loi Pacte, première étape pour dynamiter la retraite par répartition, le fonds américain dispense ses recommandations au gouvernement....ou Sébastien Crépel (L'Humanité, le 11 décembre 2019) :
Fonds de pension. Le gigantesque gestionnaire d’actifs BlackRock lorgne l’épargne hexagonale, qu’il voudrait transformer en retraite par capitalisation. Il attend que la loi Pacte votée au printemps et la réforme Delevoye lui ouvrent les portes de ce marché.
Vidéo mise en ligne le 4 décembre 2019.
Le 20 décembre, nez fin, sourire aux lèvres, Tatiana Ventôse (Le Fil d'Actu) s'est soigneusement penchée sur ce sujet afin de nous ouvrir les yeux concernant les intérêts cachés et, donc, les vrais gagnants de cet énième projet de réforme au service de la finance, ergo tellement cher au président aux lapsus éloquents —car éclaircissant à quels râteliers il mange :
Le 21 décembre, l'historienne Mathilde Larrère nous a proposé sur Twitter une histoire du Droit à la retraite. Pour y accéder, cliquez ci-contre.
Quant à ces féroces cipayes des institutions et des média, je le dis, c'est pas pour cafter, mais y font rien qu'à mugir dans nos paysages audiovisuels, nos papiers et nos institutions, dérouter la langue et conchier (s'oublier sur) l'Histoire, le Conseil national de la Résistance (3) et 90% des Français.
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(1) qui ne cessent de croître : Santander, Caixabank, Air Liquide, Vale, UMICORE,... [immédiatement après la rédaction de ce billet AENA et BME]. Ainsi, quand le 17 décembre 2019, nous liions dans plusieurs moyens de communication que...
L'organisation International Rights Advocates a déposé plainte contre cinq géants de la tech, accusés de profiter du travail d'enfants dans les mines de cobalt en République démocratique du Congo. (Capital. Cf. The Guardian-eldiario.es)...on remarquait que les sociétés concernées, directement ou indirectement, savoir, Apple, Tesla, Microsoft, la maison mère de Google et Dell, d'un côté, Kamoto Copper Company (Katanga Mining Limited), contrôlée à 75% par Glencore (groupe minier anglo-suisse de négoce, courtage et d'extraction de matières premières), ou la compagnie belge de production et recyclage de métaux non ferreux Umicore, de l'autre, ont toutes quelque chose en commun : ce sont des entreprises participées par BlackRock.
Le cobalt est « exploité en RDC selon des conditions dignes de l'Age de pierre, extrêmement dangereuses, par des enfants qui sont payés 1 ou 2 dollars par jour pour fournir le cobalt servant aux onéreux gadgets fabriqués par certaines des plus riches entreprises au monde », dénonce l'association de défense des droits de l'homme. (Les Échos)
(2) Mise à jour du 2 janvier 2020 :
J'apprends par Là-bas que M. Cirelli a été élevé au rang d’officier de la Légion d’honneur le 1er janvier 2020 par décret du 31 décembre 2019 du Président de la République. Vous pouvez consulter la parution au Journal Officiel. Pas mal, comme foutage de gueule.
(3) Voici un exemple de sarcasme pur beurre pour voir à quel point ils se torchent du monde. C'est un extrait du discours d'Édouard Philippe, mercredi 11 décembre 2019, devant le Conseil économique et social, à Paris :
Nous proposons un nouveau pacte entre les générations. Un pacte fidèle, dans son esprit, à celui imaginé par le Conseil national de la Résistance dans l’après-guerre pour créer le système de retraite actuel.Pouahhhhh. Stéphane Hessel et ses camarades ont dû se retourner dans leur tombe. N'oublions pas l'Appel du 8 mars 2004 qui prônait « une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation de masse, le mépris des plus faibles et de la culture, l'amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. Nous n’acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au programme du Conseil national de la Résistance et aux ordonnances sur la presse de 1944. »
Le mot d'Ambroise Croizat, syndicaliste CGT et ministre communiste qui mit en place la Sécurité sociale en 1945, reste toujours pertinent : « Rien n’est jamais acquis définitivement car le patronat ne désarme jamais. » La Sécu s'est bâtie sur un principe ne nécessitant pas de chiffres : «Vivre sans l’angoisse du lendemain, de la maladie ou de l’accident de travail, en cotisant selon ses moyens et en recevant selon ses besoins.»
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Mise à jour du 10 janvier 2020 :
Anaïs Henneguelle, maîtresse de conférences en économie à l’Université de Rennes 2, membre du collectif d’animation des Economistes atterrés, vient de mettre en ligne, le 3 janvier 2020, un guide d'auto-défense contre 12 mensonges reçus en matière de retraites à combattre absolument. Ce texte, clair et détaillé,...
(...) a pour vocation de fournir des arguments à tous ceux et toutes celles qui s’opposent à la réforme des retraites, mais sont souvent démunis face aux éléments de langage (parfois faux, la plupart du temps incomplets ou simplistes) qu’on leur oppose.Du très bon travail. Pour lire ce guide dans son intégralité, téléchargez le PDF ci-contre. Merci, Anaïs.
Billet à suivre : pour aller plus loin, CLIQUEZ ICI et vous accèderez à un deuxième billet qui décortique le film de Tom Ockers