Ayant trop de chats à fouetter ces derniers temps, je n'arrive pas à trouver la pause nécessaire à l'écriture posée des articles d'un blog. Comme il m'appelle néanmoins, pour ne pas laisser d'aucuns —qui aiment trouver des contenus ici de temps à autre— sur leur faim et pour que la canicule ne nous ramollisse pas en excès, voici une entrevue avec Julian Assange, le lanceur d'alerte (Whistleblower en anglais) le plus célèbre du monde par temps de répressions féroces des libéraux contre toute sorte d'activistes, y compris M. Strawberry. Nous la devons à ARTE qui explique sur son site :
BlueMan a présenté cet entretien, avec d'autres apports, sur son site et sur AGORAVOX.
Le 11 avril dernier, une équipe du collectif d’investigation Slugnews a fait entrer les caméras d’ARTE Reportage dans l’appartement de l’Ambassade d’Équateur à Londres, où Julian Assange est confiné depuis bientôt quatre ans.Tenue donc le 11 avril, émise le 30 avril (ARTE Reportage) et publiée sur le Réseau le 1er mai 2016, elle s'intitule Les vérités de Julian Assange. En voici la synopsis :
Depuis l’ambassade d’Équateur à Londres, où il est confiné depuis bientôt quatre ans, le cyber-activiste Julian Assange se confie.
Le 11 avril dernier, une équipe du collectif d’investigation Slugnews a fait entrer les caméras d’ARTE Reportage dans l’appartement de l’Ambassade d’Équateur à Londres, où Julian Assange est confiné depuis bientôt quatre ans.
Dans ce face à face rare, Julian Assange revient sur ce jour de Juin 2015 où Wikileaks a révélé l’espionnage des présidents français et allemands par les grandes oreilles américaines.
Face caméra, il révèle que les services de renseignements français ne l’ont jamais contacté, ni lui, ni Wikileaks pour en savoir plus. Il ajoute : « La France n’est pas capable de protéger sa souveraineté vis à vis des Américains. »
Le cyber-activiste aborde également plusieurs sujets qui font la Une de l’actualité : l’après 13 novembre 2015 en France, la création de l’organisation Etat Islamique en Irak ainsi que les Panama Papers, révélés par le consortium international de journalistes ICIJ.
Sous le coup d’un mandat d’arrêt de la justice suédoise, le co-fondateur du site Wikileaks craint surtout d’être extradé vers les Etats-Unis, où il serait jugé pour avoir publié en ligne des milliers de documents secrets de l’armée et de la diplomatie américaine.
De Marina Ladous et Etienne Huver – ARTE GEIE / Slug News - France 2016, ARTE
BlueMan a présenté cet entretien, avec d'autres apports, sur son site et sur AGORAVOX.