Connaissez-vous Thinkerview ? On avait déjà mentionné ici cette plateforme née en juin 2013.
Selon le journaliste français Marc Ullmann (1930-2014), il s'agirait d'un "groupe indépendant issu d'internet, très diffèrent de la plupart des think-tanks qui sont inféodés à des partis politiques ou des intérêts privés". Vous pouvez cliquer ici pour en savoir plus.
Sous la devise "Le cygne noir n'existait pas... jusqu'à ce que l'on en trouve un", ce projet en équipe et bénévole se propose de...
Ces interviews ou tables rondes durent en moyenne une heure "sans interruption, ni coupe, ni montage" et l'on y aborde des sujets variés : Géopolitique, Finance, Terrorisme, Médias, Internet/Technologies, Environnement, Société et Sciences.
Les dernières entrevues datent de la fin juin 2018 et ont été accordées à Pierre Larrouturou (Climat : Trois quarts de l'humanité menacés de mort ?), Antoine Champagne « kitetoa » et Olivier Laurelli (Table ronde intitulée Surveillance, Hacker et Journaliste : sans filtre) ou Mireille Bruyère, Eric Berr et David Cayla (Les économistes atterrés abordant le thème Economie en danger ? Flux migratoires, Brexit et Mondialisation)
En plus...
Selon le journaliste français Marc Ullmann (1930-2014), il s'agirait d'un "groupe indépendant issu d'internet, très diffèrent de la plupart des think-tanks qui sont inféodés à des partis politiques ou des intérêts privés". Vous pouvez cliquer ici pour en savoir plus.
Sous la devise "Le cygne noir n'existait pas... jusqu'à ce que l'on en trouve un", ce projet en équipe et bénévole se propose de...
- Appréhender toute la complexité des enjeux actuels et futurs de notre monde.Et cela à travers des entretiens "aux perspectives alternatives dans un monde aux informations formatées".
- Écouter les points de vue peu médiatisés afin d’élargir nos prismes de lecture.
- Mettre à l’épreuve les idées/discours en décelant leurs failles, leurs limites.
Ces interviews ou tables rondes durent en moyenne une heure "sans interruption, ni coupe, ni montage" et l'on y aborde des sujets variés : Géopolitique, Finance, Terrorisme, Médias, Internet/Technologies, Environnement, Société et Sciences.
Les dernières entrevues datent de la fin juin 2018 et ont été accordées à Pierre Larrouturou (Climat : Trois quarts de l'humanité menacés de mort ?), Antoine Champagne « kitetoa » et Olivier Laurelli (Table ronde intitulée Surveillance, Hacker et Journaliste : sans filtre) ou Mireille Bruyère, Eric Berr et David Cayla (Les économistes atterrés abordant le thème Economie en danger ? Flux migratoires, Brexit et Mondialisation)
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Thinkerview c'est aussi une veille collaborative : nous faisons remonter ce que la communauté collecte comme informations afin de comprendre et d'anticiper.Ils récoltent des dons afin de...
Cette veille se passe sur Facebook et prochainement sur Mastodon.
- Défrayer les invités et l'équipe (transports, repas).Voici, comme exemple, et sous le titre alléchant Le langage au service des puissants ?, l'interview du philosophe canadien Alain Deneault, tenue en direct le 04/05/2018 à 19h :
- Investir dans du matériel afin de gagner en qualité et en stabilité. Ne plus devoir emprunter ou louer : être plus indépendant.
(Caméras, Lumières, Ordinateur mélangeur & streaming, Table de mixage, Micros)
- Payer l'hébergement des vidéos sur notre site.
- Avoir un local associatif où l'on pourrait laisser sur place notre équipement déjà installé et prêt à tourner. Cela nous éviterait de devoir à chaque fois transporter le matériel, construire et déconstruire le studio. Nous serions alors toujours prêts pour une interview et pourrions en proposer plus régulièrement.
A L'AVENIR :
- Se déplacer à l'étranger pour élargir nos possibilités d'interviews.
« Des mots comme territoire, État, frontière, Droit, loi, crime, souveraineté... n’ont plus la même définition depuis que ce phénomène des paradis fiscaux a gagné en expansion (...). Les mots sont plus forts que nous. Les mots avec lesquels on pactise, les milieux dans lesquels on s’inscrit sont plus forts que nous, c’est-à-dire que dès lors qu’on pactise avec un certain vocabulaire, dès lors qu’on consent à appartenir à un certain milieu, ce vocabulaire et ce milieu nous conditionneront, et la principale liberté qu’on a, c’est de choisir avec quel vocabulaire et avec quel milieu on entre en relation sur un plan intellectuel et intime. »
Fallait-il vraiment appeler "Thinkerview" cette initiative ? Si on tenait absolument à utiliser un calembour, est-ce que "Contrevue", par exemple, ne pouvait pas bien faire l'affaire ?
Faudrait s'analyser ces tocades oiseuses et cuistres pour la langue de l'empire.
Faudrait s'analyser ces tocades oiseuses et cuistres pour la langue de l'empire.